lundi 8 mars 2021

Un site spécialisé pour vous informer sur la dépresssion




Il existe une maladie qui touche plus de 3 millions de personnes en France, une maladie qui peut vous empêcher de parler, de rire, de manger, de travailler, de dormir ou de vous lever le matin, une maladie qui peut vous empêcher de vivre, cette maladie, c’est la dépression.

Ce site vous permettra de mieux comprendre la dépression, de connaître ses symptômes et ses traitements et de savoir où et à qui s’adresser.


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Les femmes sont-elles plus sujettes à la dépression que les hommes ?

www.ladepeche.fr

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Crise sanitaire : la dépression, ce mal silencieux qui ronge les Français

www.francetvinfo.fr

Mis à jour le 
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 L’épidémie de Covid-19 a bouleversé la vie des Français. Certains ont perdu leurs emplois, tandis que d’autres sont privés de toutes relations sociales. Par conséquent, beaucoup ont du mal à se projeter dans l’avenir et sombrent dans la dépression.

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vendredi 26 février 2021

FIGAROVOX-Confinements: le cri d'alarme d'une psy

 

Confinements: le cri d'alarme d'une psy sur les «dégâts collatéraux infinis»

FIGAROVOX/TRIBUNE - Dans son cabinet, Marie-Estelle Dupont côtoie au quotidien le mal-être des Français. Cette psychologue clinicienne s'inquiète pour leur santé mentale à court et long terme.

«Au nom de la santé, les besoins physiologiques de lumière et d'activité, d'interactions et de stimulation sensorielle sont niés», déplore Marie-Estelle Dupont. SIAM PUKKATO/Siam - stock.adobe.com

Marie-Estelle Dupont, psychologue clinicienne et psychothérapeute. Elle a publié «Se libérer de son moi toxique», aux éditions Larousse et «Découvrez vos superpouvoirs chez le psy», aux éditions Eyrolles.


Il y a eu les premières images. Puis le mot pandémie est réapparu dans notre vocabulaire. Le 16 mars. La fermeture des restaurants, le premier confinement la fleur au fusil, sans imaginer que ce qui devait durer quelques semaines durerait presque deux ans. Patatras!, le coronavirus nous a rappelés collectivement, tous azimuts : la mort, la finitude, la vulnérabilité, l'état de l’hôpital, l'inertie bureaucratique, l'incertitude, le risque, les limites, la façon dont la peur précipite souvent le danger. Et de rideaux baissés en municipales maintenues, de masques FFP2 en couvre-feu, d'état d'urgence en lieu et place de l'article 16, d'attestations en stratégie vaccinale, la déconfiture s'est muée en Berezina psychologique pour nombre d'entre nous.


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lundi 15 février 2021

La presse-La permission de dire que ça va mal

 La presse

La permission de dire que ça va mal

ILLUSTRATION JULIEN CHUNG, LA PRESSE

Peut-on exprimer son désarroi sans risquer de se faire répondre « ça va bien aller ! », « de quoi te plains-tu, t’as encore un boulot » ou le classique « imagine ceux qui ont connu la Seconde Guerre mondiale » ? Ces injonctions à voir le bon côté des choses partent d’une bonne intention, mais si elles contribuaient aussi à invalider ce que ressentent les gens qui ne vont pas bien durant la pandémie ? Peut-on avouer qu’on va mal sans se sentir jugé ? En pleine deuxième vague, alors que l’anxiété grimpe, la question se pose : avons-nous vraiment réussi comme société à créer un espace sécuritaire pour parler de santé mentale ?

      
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Nathalie CollardNATHALIE COLLARD
LA PRESSE

Si vous vous baladez sur les réseaux sociaux (un des rares endroits qu’on peut visiter après 20 h), vous avez peut-être été témoin d’un échange qui ressemble à ceci : une personne exprime un doute sur une décision du gouvernement qui brime sa liberté (aller marcher avec quelqu’un, par exemple), ou se plaint qu’elle en a marre du confinement, et bang ! trois ou quatre « amis » lui répondent : « Ben voyons, compte tes privilèges, tu as un toit, trois repas par jour, pense à ceux qui n’ont rien ! »

Bien sûr, la personne qui répond veut bien faire en tentant de relativiser la gravité de la situation. Mais contribue-t-elle sans le vouloir à invalider le désarroi de l’autre ? « Il y a une différence entre critiquer et exprimer son désarroi, note la psychiatre Marie-Ève Cotton. C’est complexe. Quelqu’un qui exprime une douleur souhaite se faire reconnaître. C’est vrai que tout le discours sur les privilèges peut contribuer à culpabiliser une personne qui ne va pas bien malgré son confort, son boulot, etc. »

Les réseaux sociaux ne sont pas l’endroit à privilégier lorsqu’on ne va vraiment pas bien, rappelle la psychologue Georgia Vrakas. « Il existe des lieux – lignes d’écoute, bureaux de psy, etc. – plus aptes pour ça », souligne-t-elle. Mais la réalité, c’est que les gens se tournent souvent vers ces réseaux virtuels, à la recherche d’une tape dans le dos ou d’un mot d’encouragement qu’ils ne trouvent pas toujours.

PHOTO FOURNIE PAR GEORGIA VRAKAS

Georgia Vrakas, psychologue

Ce n’est pas négatif de focaliser sur le positif, mais il ne faut pas être dans le déni non plus.

Georgia Vrakas, psychologue

« Il y a de plus en plus de gens qui expriment que ça va moins bien et qui ont besoin d’aide. Si un travailleur à la maison dit qu’il trouve ça difficile, se faire répondre que le télétravail est un privilège minimise l’ampleur de la détresse qu’il vit », observe Georgia Vrakas.

« Je pense que derrière les injonctions à voir le côté positif des choses, il y a une grande peur que les gens ne suivent pas les consignes, suggère pour sa part la psychiatre Marie-Ève Cotton. Les gens deviennent crispés à mesure que le temps passe, ça explique peut-être que les critiques et les commentaires plus négatifs soient parfois accueillis ainsi. Pendant ce temps, il y a des gens qui recherchent une résonance empathique à leur douleur. »



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La presse - La détresse plus criante chez les jeunes adultes

 La presse La détresse plus criante chez les jeunes adultes

PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

Une enquête menée par l’Institut national de santé publique du Québec démontre que la détresse psychologique est plus problématique chez les jeunes adultes de 18 à 24 ans.

Les Québécois de 18 à 24 ans sont nettement plus nombreux que leurs aînés à présenter des signes de détresse, d’anxiété et de piètre santé mentale, montre une nouvelle enquête de l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ).

      
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Ariane KrolARIANE KROL
LA PRESSE

Plus d’un jeune adulte sur trois affiche un score de détresse psychologique problématique (39 %), montre des symptômes d’anxiété modérée à sévère (38 %) et qualifie sa santé mentale de mauvaise ou passable (34 %).

La situation des 18-24 ans est nettement plus criante que celle de leurs aînés. Même chez les 25-44 ans, l’autre groupe d’âge le plus touché, moins du quart (23 %) montrent les mêmes malaises. La présence de ces derniers diminue d’ailleurs avec l’âge et, à partir de 60 ans, se manifeste chez moins de 10 % des répondants.

La privation d’activités sociales, très importantes pour les jeunes adultes, y est pour beaucoup, explique la psychologue Georgia Vrakas.

Que ces signaux soient nettement plus marqués chez les étudiants à temps complet n’étonne pas non plus cette professeure au département de psychoéducation de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), qui rappelle que les étudiants n’ont pas tous un espace de travail adéquat ou une connexion internet appropriée.



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La presse - Antidépresseurs et pandémie Vraiment dur sur le moral

LA PRESSE

Antidépresseurs et pandémie Vraiment dur sur le moral

PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

La prescription d’antidépresseurs a augmenté deux fois plus vite en 2020 que pendant les 15 dernières années en moyenne dans la province.

La pandémie pèse lourd sur la santé mentale des Québécois. La prescription d’antidépresseurs a augmenté deux fois plus vite en 2020 que pendant les 15 dernières années en moyenne dans la province.

      
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Antoine TrussartANTOINE TRUSSART
LA PRESSE

Selon les données fournies par la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ), 402 835 personnes qui adhèrent au régime public d’assurance médicaments se sont fait prescrire des antidépresseurs en octobre 2020.

Depuis le début de la pandémie, le nombre de personnes recevant ces médicaments a augmenté de 7 % par rapport à 2019. Les derniers mois de 2020 ont été particulièrement difficiles, avec des hausses de plus de 8 % pour les mois de septembre, octobre et novembre, le dernier mois complet pour lequel on dispose de données. La hausse annuelle est de 4 % en moyenne depuis 15 ans.

L’année 2020 a été particulièrement difficile pour les 65 ans et plus qui sont près de 10 % plus nombreux à avoir reçu ces médicaments depuis le début de la pandémie par rapport à 2019.

« Ce que j’ai observé, c’est une augmentation drastique du nombre de consultations pour des problèmes de santé mentale, indique Sarah Lemelin, médecin de famille dans une clinique de l’est de Montréal. Mes collègues et moi, on finit nos journées brûlés parce qu’on voit beaucoup plus de patients en détresse que d’habitude. »

Le confinement, les pertes d’emplois, la perte des liens sociaux et l’incertitude face à l’avenir sont tous des facteurs qui ont joué sur la santé mentale des Québécois en 2020 et qui devraient continuer de le faire en 2021, alors que le gouvernement Legault vient d’annoncer l’imposition d’un couvre-feu sans précédent.

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Ministère des solidarités et de la santé

Comité stratégique de la santé mentale et de la psychiatrie 

Feuille de route Santé Mentale et Psychiatrie (PDF)

Jeudi juin 2018

Introduction 

La stratégie nationale de santé constitue le cadre de la politique de santé en France. Elle est définie par le Gouvernement et se fonde sur l’analyse dressée par le Haut Conseil de la santé publique sur l’état de santé de la population, ses principaux déterminants, ainsi que sur les stratégies d’action envisageables. La stratégie nationale de santé comporte quatre axes :

  • Axe 1 : Mettre en place une politique de promotion de la santé, incluant la prévention, dans tous les milieux et tout au long de la vie.
  • Axe 2 : Lutter contre les inégalités sociales et territoriales d’accès à la santé.
  • Axe 3 : Garantir la qualité, la sécurité et la pertinence des prises en charge.
  • Axe 4 : Innover pour transformer notre système de santé en réaffirmant la place des citoyens.

Au sein de ces quatre axes, elle détermine onze domaines d’action prioritaires déclinés en 43 objectifs nationaux d’amélioration de la santé et de la protection sociale contre les conséquences de la maladie, de l’accident et du handicap. Elle comporte un volet spécifique à la politique de santé de l’enfant, de l’adolescent et du jeune, ainsi que des objectifs propres à la Corse et à l’outre-mer.

Pour décliner la stratégie nationale de santé, la Ministre a souhaité que soit élaboré un plan national de santé publique « Priorité prévention, rester en bonne santé tout au long de sa vie» comme plan cadre de référence pour les actions de prévention et de promotion de la santé dans une approche populationnelle tout au long de la vie.

Le plan national de santé publique devient ainsi le garant de la cohérence des actions portées par ailleurs dans les stratégies, feuilles de route et programmes répondant à la même logique de prévention et de promotion de la santé tout au long de la vie et dans tous les milieux de vie. La déclinaison de la stratégie nationale de santé s’opère également par les différents outils régionaux, et notamment les projets régionaux de santé sous la responsabilité des agences régionales de santé (ARS).

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Psychologies - Dépression : les grands chiffres à retenir

 Psychologies 

Dépression : les grands chiffres à retenir

Par Elisa Verbeke

La dépression touche près d’une personne sur cinq au cours de sa vie et concerne aujourd’hui 3 millions de Français. Avec le confinement, et notamment l’isolement et l’ennui qui en ont découlé, la santé mentale des Français s’est considérablement dégradée en 2020.


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La Voix du Nord - Covid-19 et restrictions: Christine, en apparence heureuse, est tombée dans la dépression

 La Voix du Nord

Covid-19 et restrictions: Christine, en apparence heureuse, est tombée dans la dépression

Christine, mère au foyer, installée dans une jolie maison avec une famille aimante, n’est pourtant pas épargnée par les effets de la crise sanitaire. Elle a témoigné de sa lente plongée dans la dépression dans notre rubrique le courrier des lecteurs et a trouvé une bienveillance qui l’a touchée.

La Voix du Nord |M.Go. | 

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Les Echos - Pourquoi le syndrome de la « fatigue pandémique » pourrait relancer l'épidémie

 Les Echos - 

Pourquoi le syndrome de la « fatigue pandémique » pourrait relancer l'épidémie

Par Tifenn Clinkemaillié
Publié le 12 févr. 2021 à 11:10Mis à jour le 12 févr. 2021 à 17:55

Anxiété, dépression, troubles du sommeil… L'OMS alerte sur les dégâts à long terme de la crise sanitaire et des restrictions liées au Covid-19. Cette « fatigue pandémique » pourrait mener à la désobéissance civile et à une reprise épidémique. Les explications dans CQFD, le format pédagogique des Echos.


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jeudi 11 février 2021

Dépression : Mieux la comprendre pour la guérir durablement

INSERM - LA SCIENCE POUR LA SANTÉ - INFORMATION EN SANTÉ - DOSSIERS D'INFORMATION

Le trouble dépressif caractérisé touche tous les âges de la vie. Il concerne environ 15 à 20% de la population générale, sur la vie entière. Il se présente comme une succession d’épisodes dépressifs caractérisés, se traduisant par de nombreux symptômes − parmi lesquels la tristesse pathologique, la perte de plaisir et les symptômes cognitifs −, avec un retentissement majeur sur la vie du patient et de son entourage. S’ils se pérennisent, les symptômes liés à la dépression vont avoir des répercussions importantes sur le plan socioprofessionnel. Le risque de suicide est particulièrement élevé et concerne 10 à 20 % de ces patients....

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mardi 9 février 2021

Stress, anxiété et déprime associés à la maladie à coronavirus COVID-19

La maladie à coronavirus (COVID-19) au Québec

Différentes réactions possibles en contexte de pandémie relié au coronavirus (COVID-19)

L’actuelle pandémie du coronavirus (COVID-19) constitue une réalité particulière et inhabituelle. Celle-ci peut affecter les personnes sur le plan physique, mais également sur le plan psychologique. En effet, dans un tel contexte, de nombreuses personnes vivront des réactions de stress, d’anxiété et de déprime. Cette page se veut un outil pour vous aider à minimiser les répercussions de telles réactions dans votre vie...

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Il existe une maladie qui touche plus de 3 millions de personnes en France, une maladie qui peut vous empêcher de parler, de rire, de manger...

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